Sam Voltolini
architecte DPLG-SIA-REG A
Né en 1972 à Monthey (Suisse), diplômé DPLG de l’école d’architecture de Paris-La-Villette, membre Visarte, SIA, reg A. A travaillé chez Jean Nouvel, Devin et Rannou, Rue Royale Architectes. En 2003 Il est primé au concours international d’urbanisme de Bussigny (CH).
En 2005, lauréat au “Award 05” de la APSFV, prix national d’architecture présidé par Dr. Benedikt Loderer (Hochparterre AG). Le concept de maison “terraforming” a fait l’objet d’une quinzaine de publications nationales et internationales. La maison “géodésie” a fait l’objet de plusieurs publications en France, Suisse et en Chine.
A partir de 2006, il enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon (F), ainsi qu’à l’EPFL (CH), puis à l’Ecole Technique Supérieure d’architecture de Madrid (ES). Il est aujourd’hui professeur invité à l’HEPIA (Haute Ecole Supérieure du Paysage d’Ingénierie et d’Architecture de Genève).
En 2008, il reçoit le 2ème prix au concours de projet pour la réalisation d’un ensemble scolaire et d’une place des fêtes à St-Maurice (CH), ainsi que le 1er prix au concours de réalisation d’une salle de spectacle au Châble (CH), en cours de réalisation.
Son travail est présenté dans de nombreuses expositions. Il exerce actuellement une activité d’architecte, de plasticien et d’enseignant en Suisse et en France.
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Posture contextuelle
Voltolini architectures est engagé sur des projets de nature et d’échelle très différentes.
L’itinéraire de Sam Voltolini, questionnant les rapports entre art et architecture, s’est développé par une réflexion transdisciplinaire.
Le travail de l’équipe s’articule entre le développement de concepts liés au paysage urbain (architectures construites et expérimentales, installations...) et des expositions. Il fait appel à une recherche sans a priori, à la signification de l’architecture, à l’environnement dans ses différents rapports anachroniques. Son approche se base sur le binôme nature/artifice.
L’agence structure sa réflexion par la mise en place d’une démarche propre aux questions posées par un programme confronté aux spécificités d’un lieu, et considère le projet comme « le moyen de saisir les poétiques du réel ». Cette attitude engendre le projet comme une démarche globale, menant de front une recherche de cohérence qui met en jeu simultanément les liens : espace, volume, fonction, structure, lumière, matière...
Considérant l’instabilité comme vecteur d’équilibre, l’architecture est comprise comme la transformation d’un processus, non pas comme une finalité. Comme un questionnement permanent sur le sens, l’éthique et la responsabilité. |
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